Michel Herreria. Un nom que je m’efforce vaguement de retenir après avoir lu le crédit en bas d’une photo dans un magazine. Il est difficile de juger l’ensemble de l’oeuvre d’un artiste par une seule pièce de cet immense (dans certains cas, ici en l’occurance) puzzle. Une fois arrivée sur son site, je retrouve l’esprit qui avait attiré mon attention. Entre mille et autres choses. Couleurs, lignes, joyeux bordel éparpillé, antre d’une fibre artistique originale.
Une carrière qui commence dès 1985 et qui dure, toujours. Un longévité qui exprime l’assiduité de son travail et l’inspiration débordante et si particulière de Michel. Un impact qui (me) change. Et ça fait du bien.